La réunion était finie. Devant elle se dressait les nombreux méandres d'un espace peu connu. En suivant Clément, elle avait essayé de se remémorer les couloirs, les portes, les escaliers, les tableaux et les statues qui pouvaient faire quelques repères mais en vérité, elle se sentait livrée à elle-même, comme à chaque fois qu'elle partait à la découverte d'un nouveau lieu. Les ambassadeurs repartaient vers leurs bureaux et, avant de prendre connaissance de la charge, il lui fallait au moins appréhender l'établissement.
Aymeric lui avait parlé de lieux secrets. La fameuse réserve de gâteaux et petits fours, puis sûrement de boissons aussi, l'attendait quelque part. Ne sachant même pas où se trouvait les cuisines, la donzelle commença à fureter au delà de la grande salle. Empruntant un couloir au hasard, la découverte la mena vers une autre salle. Ce qu'elle cherchait n'était pas par ici, assurément. Des lieux émanaient une odeur de parchemins et de brûlé. La cheminée dégageait une chaleur intense qui intensifiait les parfums.
Ne voulant déranger personne, elle fit demi-tour. Même si elle n'avait aperçu personne, la salle devait servir à quelqu'un. A moins que ce ne fut une bibliothèque au vue de tous les livres qui jonchaient les étagères. Quoi qu'il en soit, le retour en arrière ne fut pas plus aisé. Elle repassa devant la grande salle qui avait vu déserter les ambassadeurs et reprit son chemin dans l'autre sens. Combien de couloirs avaient ils traversé pour arriver jusque là ? Elle ne s'en souvenait plus.
Finalement, un peu désespérée, elle s'arrêta sur un banc, posé sous une fenêtre, et observa le jardin de roses. Le tissus de velours verts montraient la qualité des lieux. Elle caressa légèrement de la main la douce étoffe.
Je serais mieux en domestique ici je crois. Pfff.
Aymeric lui avait parlé de lieux secrets. La fameuse réserve de gâteaux et petits fours, puis sûrement de boissons aussi, l'attendait quelque part. Ne sachant même pas où se trouvait les cuisines, la donzelle commença à fureter au delà de la grande salle. Empruntant un couloir au hasard, la découverte la mena vers une autre salle. Ce qu'elle cherchait n'était pas par ici, assurément. Des lieux émanaient une odeur de parchemins et de brûlé. La cheminée dégageait une chaleur intense qui intensifiait les parfums.
Ne voulant déranger personne, elle fit demi-tour. Même si elle n'avait aperçu personne, la salle devait servir à quelqu'un. A moins que ce ne fut une bibliothèque au vue de tous les livres qui jonchaient les étagères. Quoi qu'il en soit, le retour en arrière ne fut pas plus aisé. Elle repassa devant la grande salle qui avait vu déserter les ambassadeurs et reprit son chemin dans l'autre sens. Combien de couloirs avaient ils traversé pour arriver jusque là ? Elle ne s'en souvenait plus.
Finalement, un peu désespérée, elle s'arrêta sur un banc, posé sous une fenêtre, et observa le jardin de roses. Le tissus de velours verts montraient la qualité des lieux. Elle caressa légèrement de la main la douce étoffe.
Je serais mieux en domestique ici je crois. Pfff.